Les consommateurs choisissent leur conseiller. Pourquoi ne pas sélectionner vos clients?

Doit-on accepter de travailler pour chaque client qui cogne à notre porte? Bien sûr que non et, encore moins cette année.

Les marchés risquent d’être imprévisibles en 2017 : Brexit, Donald Trump et cie obligent. De plus, notre agenda sera certainement chargé d’échanges, voire d’argumentations avec la clientèle sur les tenants et aboutissants du MRCC 2, dont les nouveaux relevés témoignent des frais et des rendements de manière plus transparente. Autant de raisons de bien choisir nos interlocuteurs.

Je filtre moi-même méticuleusement les candidats, je vous invite donc à resserrer les mailles vous aussi. Voici les trois types de clients que j’évite à tout prix.

Comme vous pouvez le voir, il ne s’agit pas ici de la paie que vous procurera un client plutôt qu’un autre, mais plutôt de son attitude.

D’ordinaire, pour décider si je garde un client ou pas, je me fie à ma petite voix intérieure. Après quelques minutes de discussion, j’ai pris ma décision : ça passe ou ça casse.

Les règles de conformité, la lourdeur administrative et les fluctuations des marchés occasionnent déjà beaucoup de stress, alors pas besoin d’en rajouter avec des relations boiteuses ou des conversations irrespectueuses.

Afin d’offrir une prestation de services pertinente, des conseils judicieux et maintenir un niveau d’expertise élevé, il faut travailler avec des gens qui adhèrent à notre façon de travailler et qui souhaitent, eux aussi, établir un partenariat durable.